Petite incursion en Indre-et-Loire ce week-end. Moyennant un peu de voiture, nous arrivons à Tours en tout début d’après-midi. Fraîche et dispose, elle effectue une petite reconnaissance des lieux.
C’est une étape importante pour Caroline. En effet, si le département possède une belle unité de soins palliatifs depuis de nombreuses années, c’est aussi celui où elle a vécu et enseigné le français (dans un collège à Loches), celui où sa sœur vit toujours, et enfin l’occasion de montrer que lorsqu’elles sont présentes, les unités de soins palliatifs permettent une prise en charge excellente des patients et de leurs proches. D’ailleurs, Bertille a été elle-même bénévole longtemps en soins palliatifs.
Après une pause déjeuner rapide mais réconfortante, l’équipe se dirige vers la cathédrale. La place Jean Jaurès aurait dû accueillir notre stand, mais ce changement de lieu est en fait pour le mieux. Touristes, habitants, pèlerins et randonneurs se succèdent et circulent sur cette place piétonne tout l’après-midi !
Certains jouent de la musique ou répètent une pièce de théâtre, d’autres pédalent sur les bords de la Loire, d’autres enfin passent puis s’arrêtent, intrigués par notre tente qui ne passe pas inaperçue ! Beaucoup de passage, beaucoup de rencontres. Les membres de Soulager mais pas tuer viennent nous prêter main-forte et abordent les passants avec l’équipe. Une autre a veillé à fournir chacun en thé et café ! L’ambiance est sympathique et les conversations s’engagent paisiblement.
Un groupe de jeunes filles est même venu avec des pancartes pour encourager Caroline ! Une belle preuve de solidarité de la part de ces lycéennes.
Pour tous ceux qui le veulent et que leurs jambes démangent, rendez-vous est donné le lendemain pour un parcours symbolique à vélo avec Caroline. Une bonne manière de montrer son soutien.
Cette journée à Tours est aussi l’occasion d’étrenner notre tout nouveau Livre d’Or ! Un beau cahier, de grandes pages blanches : un outil tout simple mais qui permet aux passants et amis de témoigner leur soutien à Caroline. De quoi se redonner du cœur à l’ouvrage le soir, lorsque les jambes tirent et que la journée a été intense.